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18 novembre 2016

Un peu d'optimisme



La vie, la mienne, celle que je décortique dans l’écriture souvent, dans la pensée toujours, est une forme interrogative permanente. Quel sens a-t-elle ? Pourquoi est-elle ? Comment l’aborder ? De face ? De coté ? Je ne sais.

Je tente, j’ose un peu, je stagne beaucoup voire je régresse. Le regard dans le rétroviseur parce que c’est ainsi que je trouve des réponses. Dans ma propre histoire, dans sa genèse. Tout comme on doit regarder en arrière l’Histoire de notre monde, en voir les avancées, les erreurs, les catastrophes, les progrès, les guerres, les paix, les conflits, les désarmements intelligents, les batailles, les réconciliations, les rancœurs, les rancunes, les pardons, les menaces, les complots, les rumeurs, les élans humanistes, les chercheurs de bonheur, l’humanité entière au service de la construction ou de la destruction.

Le chaos résulte du manque de réflexion. Réfléchissons. Posons-nous les bonnes questions. Posons-nous. Écoutons les réponses jaillissantes du silence.

Lettre à Hervé Bazin



Lettre à Hervé Bazin

« Pourquoi cette lettre ? » me direz-vous. « Pourquoi maintenant ? » Il est vrai que cela fait trois ans que je vous ai lu. « Vipère au poing », d’abord, puis « La mort du petit cheval » et enfin « Cri de la chouette ».

Nous sommes en 2015 et la France a décidé de mettre sur le tapis la loi interdisant la fessée … Ce n’est pas la première fois que le sujet est sorti des tiroirs, mais, il faut croire qu’en France on aime  débattre longtemps avant de prendre des décisions. Chacun y va de son avis, cela donne alors des débats entre personnes plus ou moins intelligentes, plus ou moins renseignées, plus ou moins compétentes. Le sujet m’intéresse, j’ai mon opinion mais j’accepte d’écouter celle des autres afin d’y réfléchir ensuite.