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18 novembre 2016

Un peu d'optimisme



La vie, la mienne, celle que je décortique dans l’écriture souvent, dans la pensée toujours, est une forme interrogative permanente. Quel sens a-t-elle ? Pourquoi est-elle ? Comment l’aborder ? De face ? De coté ? Je ne sais.

Je tente, j’ose un peu, je stagne beaucoup voire je régresse. Le regard dans le rétroviseur parce que c’est ainsi que je trouve des réponses. Dans ma propre histoire, dans sa genèse. Tout comme on doit regarder en arrière l’Histoire de notre monde, en voir les avancées, les erreurs, les catastrophes, les progrès, les guerres, les paix, les conflits, les désarmements intelligents, les batailles, les réconciliations, les rancœurs, les rancunes, les pardons, les menaces, les complots, les rumeurs, les élans humanistes, les chercheurs de bonheur, l’humanité entière au service de la construction ou de la destruction.

Le chaos résulte du manque de réflexion. Réfléchissons. Posons-nous les bonnes questions. Posons-nous. Écoutons les réponses jaillissantes du silence.


Je crois en l’avancée de l’humain venant de ses réflexions sur son propre parcours. Cela lui donne les outils nécessaires pour être en relation à l’autre de manière juste sans revendication ridicule et stérile mais dans un partage équitable de son savoir, de ses connaissances, de ses forces.

Regardez un groupe de paroles réunissant des personnes dont les pathologies sont identiques : elles se nourrissent les unes les autres de chacune de leurs histoires allégeant ainsi leur propre souffrance dans la compréhension et le partage.

S’ouvrir à autrui vers une meilleure connaissance évite les heurts stupides qui engendrent la guerre. Dès qu’une personne aide une autre personne, dans la plupart des cas, cela fait d’elles des gens en relation, pour le meilleur.



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