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13 août 2021

Dramatique actualité

 

Nous sommes le 12 août 2021. La situation en France et dans le monde, est historiquement très grave. Je parlerai pour la France puisque je suis française et que c’est là que je vis depuis ma naissance. Je suis née au début des années 60. Je n’ai vécu aucune guerre sur le territoire français. Contrairement à mes arrière-grands-parents maternels que j’ai connus. Mon aïeul fut combattant à Verdun pendant la première guerre mondiale. Blessé il fut rapatrié en 1917.

La seconde guerre mondiale n’a pas épargné mes grands-parents paternels. Leurs maisons furent bombardées à deux reprises, en 1940 par les allemands, en 1945 par les alliés. 

 

Je me suis toujours interrogée sur la façon dont les français avaient vécu la deuxième guerre mondiale, avec l’exode, les manques alimentaires, les interdictions de circuler entre la zone libre et la zone occupée, les couvre-feux, le nazisme, les camps de concentrations, les rafles … Qu’est-ce qui faisait qu’on allait soit suivre aveuglément les ordres du gouvernement de Vichy, et même collaborer, soit être en résistance face à cette alliance entre Pétain et Hitler ?

Aujourd’hui, j’ai compris quelque chose. On choisit en fonction de ses propres valeurs, de sa propre éthique, de ce qui fait vibrer son âme. En tout cas c’est ainsi que je le vis.

Mon choix est difficile, désespéré parfois, mais je n’ai pas vraiment choisi. Je ne peux faire autrement que de me battre contre ce gouvernement autoritaire voire despotique, inique, sans aucun égard vis-à-vis des citoyens et citoyennes de France, utilisant éhontément les mensonges, la manipulation, la propagande via les médias à sa botte, pour apeurer, effrayer, sidérer puis soumettre tout un peuple à des lois outrageusement liberticides et dénuées de tout bon sens.

Tout à commencer par l’arrivée d’un virus, en France, en Europe et dans le monde. Ce virus semblait être très dangereux, les médias donnant à toute personne regardant la télévision quotidiennement un décompte de morts comme on égraine des mauvaises nouvelles. Mars 2020, avril 2020… J’étais alors sidérée, n’osant plus sortir de chez moi alors que le gouvernement nous l’autorisait le 11 mai 2020 après 55 jours de confinement. Ils avaient semé en moi la terreur, la peur de l’autre, de tous les autres. J’ai failli y laisser ma peau. De peur. Je n’ai jamais été malade du Covid et ce depuis le début soit il y a un an et 6 mois. Je ne connais personnellement personne qui soit mort de cette maladie.

Très vite, en voyant le nombre de morts égrainé chaque jour à la télévision je me suis posé la question suivante : « Combien y a t il de morts d’habitude ? » Et c’est là que ma réflexion a commencé. C’est à partir du constat qu’il y en avait quasi autant (les statistiques sur une année montre qu’au vu de la démographie, et en comparaison avec les cinq années précédentes, le nombre de morts en plus n’est pas significatifs.). C'est une maladie dont le taux de mortalité est inférieur à 0.05% ce qui signifie que plus de 99.5% des personnes diagnostiquées positives au virus survivent, dans l'immense majorité des cas les personnes décédées sont âgées (moyenne 80 ans) et ou porteuses de lourdes comorbidités. Quand on réalise de la façon dont le gouvernement français a géré cette épidémie avec toutes les restrictions mises en place, confinement, déconfinement, sans masque, avec masque, avec attestation de dérogation de sortie à signer soi-même, reconfinement, couvre-feu à géométrie variable :  21h, 20h, 18h, 19h, 21h, 23h ... plus de couvre-feu, et de nouveau un confinement allégé pour les travailleurs avec couvre-feu, fermeture des lieux dits "non-essentiels", au nom de quoi ? Du bon vouloir d’un conseil scientifique créé pour l’occasion dont les membres sont choisis par l’exécutif (ministre de la santé). Versement d’indemnisations financières pour dédommagement et pour faire taire les artistes, les gérants de cafés, restaurants, théâtres, cinémas etc. Ce gouvernement a tout fait pour aller au bout de son objectif : la mise en place d’un passe sanitaire faisant de certains citoyens des parias de la société, n’ayant plus les mêmes droits que les autres. Ce gouvernement piétine sans la moindre hésitation les droits de l’homme et du citoyen (1789), et la déclaration universelle des droits de l’homme (1948) entre autre.

Les français subissent depuis un an et demi ce régime fou, sans aucun bon sens, avec le concours des médias pour insuffler chaque jour dans les cerveaux une propagande insupportable allant jusqu’à culpabiliser les enfants d’être responsables de la mort de leurs grands-parents s’ils s’approchent trop d’eux.

Je ne voudrais pas être à la place de ceux qui ont fait ces spots scandaleux, honteux, ni de ceux qui ont obéi aux règles aberrantes des politiques, ni de ceux qui ont été les complices de cette guerre contre le peuple.

Comment des journalistes se permettent-ils de maintenir un climat anxiogène chaque jour dans les chaumières de tous les citoyens regardant leur insoutenable propagande de la peur ? Aucune investigation de leur part pour essayer de faire des débats constructifs entre des scientifiques sans lien d’intérêt avec les laboratoires pharmaceutiques, pour parler des solutions de traitements et non le tout vaccination. Ils ne font pas ce pour quoi ils sont payés. 

Je ne supporte pas non plus qu’ils utilisent du vocabulaire imprécis, malhonnête pour décrire certaines choses comme le mot « vaccin » : ce qu’ils nous proposent et veulent nous imposer n’en n’est pas un au sens littéral du terme.

Vaccin, définition du Larousse :

Substance d'origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l'immunité à l'égard de l'infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l'égard d'autres infections.

Sans être soi-même médecin, il n’est pas compliqué de comprendre que ce que l’on veut nous imposer n’est pas un vaccin mais une thérapie génique expérimentale. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé, a donné une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, ce qui fait que les injections (Pfizer, Moderna, AztraZeneca, Johnson et Johnson) sont à l’état d’expérimentation jusqu’en 2022 ou 2023 selon les laboratoires. Les personnes qui reçoivent cette injection sont des cobayes. En ont-elles conscience ?

D’après l’article L1111-4 du code de la santé publique :

Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.


A partir du moment où on est conscient de la manipulation et des mensonges d’un gouvernement, on ne peut que se renseigner avant d’accepter une médication dont on n’a aucune preuve ni de son efficacité, ni de sa dangerosité à court, moyen et long terme.

Le ministre de la santé lui-même a dit que le vaccin n’empêchait pas d’attraper le virus, ni de contaminer autrui.

Le virus a muté plusieurs fois, il est donc différent de la période où les thérapies expérimentales ont été fabriquées. Comment peut-on faire croire que ces thérapies protègent des nouveaux variants ? 

Il est difficile de faire confiance à des personnes dont le seul intérêt est de soumettre la population à des contraintes liberticides de plus en plus épouvantables.

Leurs méthodes sont à ce point perverses qu’elles réussissent à créer des distensions au sein des ami.e.s, des familles, des couples, des collègues. Et summum de l’insupportable amènent les gens à perdre leur travail, donc leur revenu, les mettant dans une précarité sans nom.

Il s’agit d’une guerre de classe, les personnes au pouvoir, des oligarques,  contre le peuple, à commencer par les plus pauvres. Au nom de quoi ? De leur prétendue supériorité ? Ils méprisent le peuple.

Depuis plus de vingt ans les différents gouvernements ne cessent de diminuer les finances des hôpitaux, générant une crise sanitaire avant même le Covid. Plutôt que d’y remédier pour soigner des personnes malades, l’État continue à supprimer des lits. Est-ce la meilleure chose à faire en cas de pandémie ? Leur objectif est sans doute de supprimer les hôpitaux, et seules les personnes aisées seront correctement soignées. Ce sont des êtres dénués de toute humanité.

Des traitements existent pour soigner les personnes malades du Covid. L’État a interdit les molécules permettant de soigner. Il a retiré sciemment le droit aux médecins de prescrire et de soigner leurs patients. Pourquoi ?

Les confinements et masques n’ont pas montré leur efficacité quant à la protection contre le virus. Mais on continue à nous l'imposer même en extérieur en dépit du bon sens et selon le bon vouloir des Préfets.

L’État a menti et s’est contredit à plusieurs reprises. Et il utilise la menace et le chantage pour soumettre la population.

La thérapie expérimentale à ARNm ne protège pas du Covid, de ses variants, n’empêche pas la contagion et a une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. On ne connaît pas les effets secondaires de ces injections sur le moyen et le long terme. Beaucoup de témoignages par contre sur les effets à court terme (thromboses responsables de phlébites, d'embolies pulmonaires, d'AVC, de cécité, épilepsie, paralysie faciale, troubles de la coagulation sanguines responsables d'hémorragies parfois mortelles, myocardites, péricardites, choc anaphylactique)... Il y a plus de morts officiellement recensés du fait de ces vaccins depuis quelques mois que du fait de tous les autres vaccins sur les 30 dernières années ! Et on continue les injections !

De combien de morts la thérapie génique sera-t-elle responsable ? L’avenir le dira. Les politiques cacheront la vérité. Mais comme pour tout, le temps jouera en faveur de ceux qui se posent des questions et ne prennent pas comme argent comptant ce que disent les gouvernants et leurs sbires.

Ce gouvernement est un ramassis de personnes corrompues, criminelles, dont j’espère des jugements et des condamnations à la hauteur de leurs méfaits.


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