Il s’agit davantage d’un isolement que d’un confinement. 18 jours que je n’ai pas été voir une amie, la famille, quelqu’un. 18 jours que je n’ai pas reçu mes filles, un ami, quelqu’un. 18 jours que je ne suis pas allée flâner devant les vitrines, pas bu un café en terrasse, pas partager un repas au restaurant. Ça me parait une éternité.
Au premier
confinement c’était concevable. Au deuxième, cela devient absurde. Délétère.
Liberticide. Insupportable.
16/11/20
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