Où est la vérité ? Que se passe-t-il réellement, en France, en Europe, dans le reste du monde ? Si ce que j’entends ici et là est vrai, à savoir une manipulation en très haut lieu, c’est l’horreur absolue. Un cauchemar éveillé. D’ailleurs, mes nuits actuelles sont peuplées de cauchemars. Pourquoi ? Je réalise à quel point la privation de liberté est destructrice. Vivre sans être libre m’est insupportable.
En regardant une série documentaire sur le Général de Gaulle, qui passe en ce moment à la télévision, je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec les luttes actuelles pour retrouver notre liberté. Pendant la 2nde guerre mondiale, l’ennemi était l’Allemagne nazie (entre autre). Il y avait alors deux façons de lutter. Pactiser en signant l’armistice, ce que fit Pétain sous le régime de Vichy, ou combattre frontalement et en résistant, ce que firent De Gaulle, les résistants, les communistes et d’autres. La France était déchirée. Elle l’est aujourd’hui, de nouveau.
J’ai vu une magnifique vidéo ce matin, tournée à Toulouse, une performance riche en émotions, une très belle démonstration du mécontentement de différents milieux. La vidéo était accompagnée d’une voix off qui disait ceci :
« Considérés comme non essentiels nos métiers subissent et n’ont aucune perspective d’avenir. Toutes nos professions sont en danger de mort imminente. L’évènementiel (Sans personne), les métiers de l’hôtellerie et de la restauration (Sans saveur), les métiers de la culture et des loisirs (Sans rire et sans pleur), les métiers des commerces de proximité (Rideaux fermés), les métiers du sport (Sans adhérents ni public), les bars & discothèques (Sans son et sans lumière). Nous sommes tous essentiels, nous sommes tous sinistrés. Nous refuserons toujours de perdre notre savoir-faire, notre parcours, nos efforts, nos sacrifices… notre vie. Il est temps de réparer le préjudice intégral. Gouvernement si vous nous fermez… vous devez payez. » Et la vidéo finit sur cette phrase dite par Emmanuel Macron le 12 mars 2020 : « Quoi qu’il en coute ! ».
Je n’ai rien à ajouter si ce n’est ma peine.
07/11/20
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