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30 avril 2021

Journée de la non-violence éducative

 Vendredi 30 avril 2021, journée de la non-violence éducative.

Cela fait plus d'un an que nous sommes entrés dans une dictature sanitaire, à cause d'un virus qui fait moins d'1% de morts. Si Alice Miller avait été encore vivante, je pense, mais je peux me tromper, qu'elle se serait interrogée sur la "docilité" de la population dans tous les pays à accepter sans broncher les règles absurdes de confinement, couvre-feu, port du masque même par les enfants, attestations à signer soi-même pour justifier de ses allées et venues et au final accepter de se faire vacciner, par un vaccin dont l'efficacité n'a pas été démontrée scientifiquement, et dont les effets secondaires ne sont pas encore tous connus, vu qu'il est administré en phase 3, sans le recul qui est nécessaire avant d'utiliser un quelconque vaccin.

Tout cela relève de la maltraitance. 

 

Pourquoi cette acceptation ? Tout comme Alice s'était interrogée sur l'obéissance des allemands envers Hitler, je m'interroge à mon tour sur la docilité de la majorité de la population. Je ne vais pas entrer dans les détails, ce serait un autre sujet, mais je pense qu'une corrélation entre les travaux d'Alice Miller sur l'obéissance apprises enfant, et cette obéissance aveugle aux gouvernements est envisageable.

Au sujet de la vaccination expérimentale actuelle, je ne peux que m'interroger sur le rapport à leur propre corps des personnes qui acceptent voire demandent à ce qu'on leur injecte ce produit sans en connaitre les conséquences sur leur santé future. 

Cela me fait penser à l'apprentissage reçu enfant, dans toute violence éducative même "ordinaire", de la non conscience de son corps, puisqu'il est nié dans ses ressentis, par ceux qui sont censés le protéger et l'accompagner dans son évolution.

Lorsqu'on dit "mais non tu n'as pas mal" ou "mange !" ou "mets ton manteau" ou "ne pleure pas !" et j'en passe, on apprend à l'enfant à se couper de tous ses ressentis. A-t-il faim ? Froid ? A t-il mal quelque part ? "L'autre sait ce qui se passe dans mon corps. Moi je ne sais pas. Je me fie à ce que les autres disent, je ne sais pas moi, ce que je ressens. Et je ne peux en l’occurrence pas satisfaire mes besoins puisque je n'en n'ai pas conscience."

Dans ce cas, ce qui est appris enfant, pour grandir et évoluer librement, doit être désappris, et remplacé par de la bienveillance envers soi-même, de l'autocompassion, en passant par un autoparentage dès que nécessaire.

Extrait de Notre corps ne ment jamais d'Alice Miller :

" Notre corps réagit bien souvent par la maladie devant le mépris prolongé de ses fonctions vitales. L'une d'elles est la fidélité à sa propre histoire. De ce fait, ce livre traite principalement du conflit entre ce que nous ressentons et savons, puisque cela reste enregistré dans notre corps, et ce que nous voudrions ressentir pour nous conformer aux normes morales gravées en nous dès le plus jeune âge. Or il se trouve que l'une, très précisément de ces normes, le précepte universellement accepté "Tu honoreras ton père et ta mère" qui est aussi le Quatrième commandement du Décalogue, nous empêche souvent de laisser émerger nos véritables sentiments, et que nous payons ce compromis par des maux corporels."


Concernant précisément cette journée de non-violence éducative, je vous mets ce lien de StopVEO

http://stopveo.org/index.php/2021/04/30/brigitte-oriol-alice-miller/?fbclid=IwAR0SkN6T8ADzxYW0AvID6qO8D-U6MsHltKgSKu8hUyKRRG-akmGpk_1njwk


 

 





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