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24 mai 2021

Piège de la propagande

 

J’ai écrit la lettre en bas de cette article, à mon groupe d’atelier d’écriture, en juin 2020, après avoir subi la propagande menée par l’État français et ses sbires médiatiques. 

La relire un an plus tard me fait comprendre la mesure des conséquences désastreuses de la gestion politique sanitaire sur le mental de tout un chacun. Le gouvernement, plutôt que de protéger ses citoyens de manière intelligente et bienveillante, a commencé lentement mais sûrement sa manipulation de masse, en inculquant quotidiennement (via les médias mainstream) le nombre de morts du Covid, dès la mi-mars 2020, sans préciser qu’en période d’épidémie de grippe par exemple, il y en a tout autant. Des mois plus tard, n’ayant plus de morts à annoncer en surnombre, le gouvernement a mis en place une autre forme de propagande basée sur le nombre de « cas ». Le « cas » positif induit dans la tête des gens qu’il est potentiellement malade alors qu’il ne l’est pas et ne le sera sans doute jamais, mais il est compté comme un horrible contaminant potentiel. 
 
Les médias se sont mis à nous égrainer des nombres de « cas » sortis dont ne sait où. On ne sait pas trop de quoi il s’agit, mais cela est certainement très dangereux ! Est déclarée « cas » toute personne positive au fameux test PCR dont la fiabilité est on ne peut plus incertaine, tests faits sur des sujets sains, asymptomatiques, mais cela vient grossir des chiffres dont on ne comprend toujours pas aujourd’hui l’utilité si ce n’est pour servir la soupe gouvernementale qui génère la peur, donc la soumission à tout ce qu’ils ont imposés ensuite : 
 
3 confinements à ce jour, des couvre-feux à horaires variables selon le bon vouloir de nos gouvernants, sans logique scientifique aucune, des magasins dits « non essentiels » qui doivent fermer, des bars et des restaurants à qui on a, dans un premier temps, imposés des règles drastiques pour faire respecter les gestes barrières, puis une fermeture pour plusieurs mois, idem pour le monde de la culture et des loisirs, du télétravail qui va isoler encore plus les personnes, et bien sûr tout cela nous amène gentiment à l’acceptation d’un vaccin (qui est en fait une thérapie génique expérimentale)* dont on ne connaît pas les effets sur du court, moyen ou long terme, vu qu’il est en phase 3 de test jusqu’en 2023. Pour l’instant, il tue des personnes, mais on n’en parle pas dans les médias, pour pas qu’on réagisse, et pour qu’on accepte gentiment l’étape suivante le pass sanitaire. Ne pourront voyager hors de France que les personnes vacciner, certains lieux publics ne seront accessibles que si l’on a été vacciné ou si l’on peut prouver qu’on a des anticorps. Ce pass sera comme un sésame pour ceux qui l’auront, mais un sésame bien lourd à porter car pour qu’il fonctionne il faudra qu’il soit à jour, donc le renouvellement de vaccins se fera à chaque épidémie, même une épidémie comme la grippe, ce qui fera de votre corps un réceptacle à poison dont on découvrira plus tard les conséquences délétères sur la santé et on minimisera les dégâts, arguant que les vaccins n'y sont pour rien. 
 
De plus sur le plan psychologique, (et voyez comme le gouvernement a bien tout prémédité), cela crée une stigmatisation de ceux qui refusent l’étape vaccinale, les faisant montrer du doigt par la partie de la population qui se fait vacciner, ainsi le gouvernement fait désigner un bouc émissaire, pour mettre le focus dessus, ce n’est pas lui qui est pris en faute mais tous les résistants à leurs lois absurdes et liberticides, et pour finir on arrive à une population divisée. 
 
D’un coté les bons citoyens, de l’autre les mauvais. Et le gouvernement se frotte les mains d’une si belle réussite. Diviser pour mieux régner, telle est leur devise.


Lettre (telle que je l'ai écrite en juin 2020 soit 1 mois après la fin du 1er confinement, qui montre à quel point j'étais impactée par les informations regardées chaque jour dans les journaux télévisés) :

Chers amis,

Cette missive n’a rien de solennel, j’écris avec mon cœur vers vos cœurs.

Lorsque A a lancé son invitation à la fin de notre visio, cela m’a fait comme un uppercut au plexus. Non que ce soit violent en tant que tel, mais je l’ai reçue ainsi et je m’en explique. Mon cerveau n’a pas eu le temps d’analyser, comme dans les dessins animés, vous savez les robots ou ordinateurs, l’info, que mon émotion « peur » s’est mise à clignoter en rouge. Visualisation en accélérée de la maison et du jardin de A, du bol de cacahuètes et des mains qui y plongent, des verres partagés, des lieux communs comme les toilettes, de l’évier pour se laver les mains, des torchons, des contacts sans contacts, de la distance à tenir …

Je me suis dit que, soit je venais, je continuais l’écriture du slam, j’allais enfin vous revoir, soit je ne venais pas, pour que mon alarme rouge se calme, et je perdais tout ça… Alors je me suis sentie envahie d’une profonde tristesse.

Deux jours après, je frôlais le désespoir. Il fallait que je comprenne ce qui n’allait pas chez moi pour être la seule du groupe à ne pas « pouvoir » venir. Et j’ai compris. Il était temps que je me déconfine, que je cesse de penser que la moindre sortie, le moindre contact humain allait me tuer. Et je suis sortie, je suis allée dans des lieux où j’allais d’habitude sans me poser de question.

Ma joie de vous revoir est grande, je ne vous prendrai pas dans mes bras, je ne vous embrasserai pas, je garderai une distance sans doute, mais je ne laisserai pas la peur dicter mes élans de vie, mes élans vers vous !

Donc à samedi, avec une bouteille de rouge ou de rosé, et des trucs salés à grignoter sans doute.


 

*https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccin-genique-essai-therapeutique-grande-echelle-vous-etes-le-cobaye


 

Propagande, définition du Larousse :

Nom féminin

Action systématique exercée sur l'opinion pour lui faire accepter certaines idées ou doctrines, notamment dans le domaine politique ou social : La propagande électorale.

 

Extrait tiré d'un PDF édité via Musée royal de l'armée et d'histoire militaire (belge) :

La propagande[...] vise au contrôle de la société, à éradiquer toute
forme de représentation sociale et politique qui ne cadre pas avec les énoncés
du discours du pouvoir en place. 

La propagande (comme la publicité) se base sur des études sociologiques, psychologiques, voire même psychiatriques pour manipuler l’inconscient, les désirs refoulés, les réflexes des individus ou des foules. Elle utilise des
techniques comme les sondages ou l’appel à un soi-disant comité d’experts pour augmenter la crédibilité de son message.

 

 

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