J’ai écrit la lettre en bas de cette article, à mon groupe d’atelier d’écriture, en juin 2020, après avoir subi la propagande menée
par l’État français et ses sbires médiatiques.
La relire un an
plus tard me fait comprendre la mesure des conséquences désastreuses
de la gestion politique sanitaire sur le mental de tout un chacun. Le
gouvernement, plutôt que de protéger ses citoyens de manière
intelligente et bienveillante, a commencé lentement mais sûrement
sa manipulation de masse, en inculquant quotidiennement (via les médias mainstream) le nombre de morts du Covid, dès la mi-mars 2020, sans préciser
qu’en période d’épidémie de grippe par exemple, il y en a tout
autant. Des mois plus tard, n’ayant plus de morts à annoncer en
surnombre, le gouvernement a mis en place une autre forme de
propagande basée sur le nombre de « cas ». Le « cas »
positif induit dans la tête des gens qu’il est potentiellement
malade alors
qu’il ne l’est pas et ne le sera sans
doute jamais, mais il est compté comme un horrible contaminant
potentiel.
Les médias se sont mis à nous égrainer des nombres de
« cas » sortis dont ne sait où. On ne sait pas trop de
quoi il s’agit, mais cela est certainement très dangereux ! Est déclarée « cas » toute personne positive au
fameux test PCR dont la fiabilité est on ne peut plus incertaine,
tests faits sur des sujets sains, asymptomatiques, mais cela vient
grossir des chiffres dont on ne comprend toujours pas aujourd’hui
l’utilité si ce n’est pour servir la soupe gouvernementale qui
génère la peur, donc la soumission à tout ce qu’ils ont
imposés ensuite :
3 confinements à ce jour, des couvre-feux à
horaires variables selon le bon vouloir de nos gouvernants, sans
logique scientifique aucune, des magasins dits « non
essentiels » qui doivent fermer, des bars et des restaurants à
qui on a, dans un premier temps, imposés des règles drastiques pour
faire respecter les gestes barrières, puis une fermeture pour
plusieurs mois, idem pour le monde de la culture et des loisirs, du
télétravail qui
va isoler encore plus les personnes, et
bien sûr tout cela nous amène gentiment à l’acceptation d’un
vaccin (qui est en fait une thérapie génique expérimentale)* dont on ne connaît pas les effets sur du court, moyen ou long
terme, vu qu’il est en phase 3 de test jusqu’en 2023. Pour
l’instant, il tue des personnes, mais on n’en parle pas dans les
médias, pour pas qu’on réagisse, et pour qu’on accepte
gentiment l’étape suivante le pass sanitaire. Ne pourront voyager
hors de France que les personnes vacciner, certains lieux publics ne
seront accessibles que si l’on a été vacciné ou si l’on peut
prouver qu’on a des anticorps. Ce pass sera comme un sésame pour
ceux qui l’auront, mais un sésame bien lourd à porter car pour
qu’il fonctionne il faudra qu’il soit à jour, donc le
renouvellement de vaccins se fera à chaque épidémie, même une
épidémie comme la grippe, ce qui fera de votre corps un réceptacle
à poison dont on découvrira plus tard les conséquences délétères sur la santé et on minimisera les dégâts, arguant que les vaccins n'y sont pour rien.
De plus sur le plan psychologique, (et voyez comme le
gouvernement a bien tout prémédité), cela crée une stigmatisation
de ceux qui refusent l’étape vaccinale, les faisant montrer du
doigt par la partie de la population qui se fait vacciner, ainsi le
gouvernement fait désigner un bouc émissaire, pour mettre le focus
dessus, ce n’est pas lui qui est pris en faute mais tous les
résistants à leurs lois absurdes et liberticides, et pour finir on
arrive à une population divisée.
D’un coté les bons citoyens, de
l’autre les mauvais. Et le gouvernement se frotte les mains d’une
si belle réussite. Diviser pour mieux régner, telle est leur
devise.
Lettre (telle que je l'ai écrite en juin 2020 soit 1 mois après la fin du 1er confinement, qui montre à quel point j'étais impactée par les informations regardées chaque jour dans les journaux télévisés) :
Chers
amis,
Cette
missive n’a rien de solennel, j’écris avec mon cœur vers vos
cœurs.
Lorsque A a lancé son invitation à la fin de notre visio, cela m’a
fait comme un uppercut au plexus. Non que ce soit violent en tant que
tel, mais je l’ai reçue ainsi et je m’en explique. Mon cerveau
n’a pas eu le temps d’analyser, comme dans les dessins animés,
vous savez les robots ou ordinateurs, l’info, que mon émotion
« peur » s’est mise à clignoter en rouge.
Visualisation en accélérée de la maison et du jardin de A, du
bol de cacahuètes et des mains qui y plongent, des verres partagés,
des lieux communs comme les toilettes, de l’évier pour se laver
les mains, des torchons, des contacts sans contacts, de la distance à
tenir …
Je
me suis dit que, soit je venais, je continuais l’écriture du slam,
j’allais enfin vous revoir, soit je ne venais pas, pour que mon
alarme rouge se calme, et je perdais tout ça… Alors je me suis
sentie envahie d’une profonde tristesse.
Deux
jours après, je frôlais le désespoir. Il fallait que je comprenne
ce qui n’allait pas chez moi pour être la seule du groupe à ne
pas « pouvoir » venir. Et j’ai compris. Il était temps
que je me déconfine, que je cesse de penser que la moindre sortie,
le moindre contact humain allait me tuer. Et je suis sortie, je suis
allée dans des lieux où j’allais d’habitude sans me poser de
question.
Ma
joie de vous revoir est grande, je ne vous prendrai pas dans mes
bras, je ne vous embrasserai pas, je garderai une distance sans
doute, mais je ne laisserai pas la peur dicter mes élans de vie, mes
élans vers vous !
Donc
à samedi, avec une bouteille de rouge ou de rosé, et des trucs
salés à grignoter sans doute.
*https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccin-genique-essai-therapeutique-grande-echelle-vous-etes-le-cobaye
Propagande, définition du Larousse :
Nom féminin
Action systématique exercée sur l'opinion pour lui faire accepter
certaines idées ou doctrines, notamment dans le domaine politique ou
social : La propagande électorale.
Extrait tiré d'un PDF édité via Musée royal de l'armée et d'histoire militaire (belge) :
La propagande[...] vise au contrôle de la société, à éradiquer toute
forme de représentation sociale et politique qui ne cadre pas avec les énoncés
du discours du pouvoir en place.
La
propagande (comme la publicité) se base sur des études sociologiques,
psychologiques, voire même psychiatriques pour manipuler l’inconscient,
les désirs refoulés, les réflexes des individus ou des foules. Elle
utilise des
techniques comme les sondages ou l’appel à un soi-disant comité d’experts pour augmenter la crédibilité de son message.
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