La Pédocratie à la française
la chute des intouchables
de Jacques Thomet
Éditions FABERT - mars 2021
Extrait de la 4e de couverture :
« Cécité de l’État français, impunité des prédateurs dans l’élite, réseaux pédocriminels auteurs de tortures et de meurtres, inertie judiciaire et policière, complicités actives et passives, non assistance à personnes en danger, terreur des victimes, tous ces facteurs sont mis au jour. Ils font surgir l’image d’une véritable tumeur : La Pédocratie à la française. »
Ce sont donc des bébés et des enfants qui sont les victimes de ces odieuses personnes, perverses, criminelles, se pensant au-dessus de toute loi, menteurs de surcroît, manipulateurs, au nom de leur prétendue place dans la société, bénéficiant d’un réseau relationnel en haut lieu, baignant dans un monde où la loi du plus puissant l’emporte sur toute moralité, sur toute humanité.
Je vais en lister certains ici, pour que l’Histoire ne les oublie pas, et que la honte soit gravée à jamais sur leur front.
Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre, Christophe Girard, Gabriel Matzneff, Pierre Bergé, René Scherer, Jack Lang, Daniel Cohn-Bendit, Frédéric Mitterand, Roman Polanski, David Hamilton, Roger Peyrefitte, Alain Robbe-Grillet, Christian Zervos, Joël Le Scouarnec, Christian Hennion, Olivier Duhamel…
Liste non exhaustive bien sûr. Et je ne vous liste pas toutes les personnes qui ont prôné la pédophilie, celles qui ont soutenu les pédocriminels, celles qui n’ont pas fait leur travail de dénonciation, celles qui ont relaxé des criminels, car le viol et la torture d’enfants sont des crimes. Je ne sais même pas pourquoi j’écris cela, c’est une évidence.
A lire absolument l’Annexe IV : Quand une psychothérapeute terrasse l’avocat Dupont-Moretti.
On ne se remet pas de lire cet ouvrage. Mais il faut savoir pour combattre. Dire, ne pas taire les ignominies commises sur des bébés, des enfants, des adolescents.
Je remercie Vanessa Springora et Camille Kouchner pour avoir écrit et publié Le consentement (sur Matzneff) pour l’une, et La familia grande (sur Olivier Duhamel) pour l’autre.
Se taire, ne pas dire ce que l’on sait, c’est être complice. Je ne veux pas être de cela. Ce livre permet de savoir, même l’innommable.
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